Voilà quelques petites photos de notre super week end à Friser Island. Pour ceux qui ne connaissent pas l’endroit : c’est la plus grande île de sable du monde avec une superficie de 1 840 km². Elle a été inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO en 1992. Les indigènes l’avaient nommée « K’gari » qui signifiait « paradis ». On a loué un 4*4 pour le week end (seul véhicule qui peut circuler sur l’île) et on a pris le ferry à partir d’Hervey Bay.
On a été ainsi initié à la conduite sur le sable, et je peux dire que ça décoiffe et que ce n’est pas vraiment facile, surtout que ça faisait un bail qu’il n’avait pas plu et que les routes étaient bien sableuses.
L’île possède de nombreux lacs et une faune et flore très riche. La Forêt tropical de l’île est la seule au monde à pousser sur le sable ! On a eu que 2 petites journées pour la visiter mais on en a quand même bien profité. Le seul point négatif de l’île en cette période : la virulence des taons contre qui tu passes ton temps à te battre !
La fine équipe en attente pour le départ devant le ferry
Le ferry
Notre engin de guerre pour le week end.
Petit bain au lac McKenzie
Un couple de pie de mer, une fois amoureux avec eux c'est pour la vie.
Maheno Wrek qui est un navire écossais qui fut jeté sur l’île le 9 juillet 1935 par un cyclone hivernal !
Quelques petites photos rigolotes sur la route pour le lac Wabby.
Le lac Wabby
La traversée des dunes de sable pour arriver au lac Wabby.
Béa en haut d’une dune.
Et ils marchèrent longtemps, longtemps…
Ah enfin arrivé au lac !
Humm une belle petite araignée que je n’aurais pas aimé croiser vivante !
Lac Birrabeen où on a l’impression d’être seul au monde.
Commentaire de Greg : « Oh une baleine échouée ! »
Vengeance!
L’île possède les derniers dingos d’Australie de race pure c’est pourquoi les chiens domestiques sont interdits sur l’île, l’hybridation croissante a causé un déclin au niveau de la population qui est aujourd’hui sur la liste rouge de l’IUCN comme espèce « Vulnérable ».
Des petits dingos aperçus lors de notre départ. On avait fini par croire que c’était un mythe car on en avait pas vu un seul du week end. De plus la communication sur ces animaux est omniprésente, il est important de ne pas les familiariser à la présence de l’homme pour éviter les accidents (mort d’un enfant en 2001, attaqué par des dingos).
Ca donne envie d'aller voir ce qui s'y passe :).
RépondreSupprimervadim