mercredi 27 février 2013

Banks Peninsula à Otago Peninsula


Première escale de notre périple à Banks Peninsula :

Et tout particulièrement Akaora, « longue baie » nommée par les Maoris. Ce petit patelin touristique garde quelques traces d’une colonisation française qui a échoué, on y trouve quelques noms de rue français et quelques magasins qu’ils se veulent style français (mais en fait pas du tout). 


 Poulet ou canard ? On a le choix pour le petit déj. Un petit conseil : n’abandonnez pas votre bol de céréales même quelques secondes !

Petite randonnée où après avoir monté 800 mètres de dénivelé, le sommet se couvre de brume et ne laisse plus aucune vue possible sur l’horizon (flûte la prochaine fois faudra être plus rapide).


Humm on dirait bien que le vent souffle souvent ici !


Encore un  petit coin de paradis pour une nuit en van.

Direction Oamaru :
 Où on a la chance de voir quelques manchots à œil jaune, difficile à voir car très craintifs. Merci au zoom de l’appareil photo.


Par contre les otaries à fourrure ça posent moins de problème pour l’observation. 




Petite nuit sur une route déserte

Parfois les hommes ont besoin d’un bon coup de pied aux fesses J

Coucher de soleil sur Oamaru

 Moeraki Boulders qui sont des formations géologiques éparpillées sur la plages ressemblant à des carapaces de tortues géantes. Selon la légende maorie, ce sont des paniers ronds de nourriture et de calebasses (grands fruits secs qui peuvent servir de récipient) échoués sur la plage après le naufrage de la grande pirogue Arai Te Uru lors d’une tempête.

 Puis c’est bien sympas de faire les couillons


 Petit restaurant dans un endroit plutôt pas mal à Moeraki où on a pu goûter un repas traditionnel maori : du « muttonbird » (Puffin fuligineux), eux seuls sont habilités à chasser cette oiseau sur une île près de Stewart Island. Le goût est fumé et salé, ça fait beaucoup penser à de l’anchois (en bref j’ai pas aimé !). 


Nous arrivons du côté de Dunedin :
 Baldwin Street : la rue la plus pentue du monde, 350 mètres de long pour une dénivelé de 35 %.

Mais on file vite à Otago Peninsula (ben ouais on aime pas trop les grandes villes) :
Sandfly Bay

Où on a la chance de croiser un manchot à œil jaune dans la matinée (et qu’on se désole d’avoir surement dérangé, car on a fait les couillons dans les dunes à côté avant de le voir…).

Les traces d’un manchot venu pendant la nuit.

Lovers Leap, et je dois dire qu’on a souffert pour y arriver, car grande montée dans les dunes à partir de Sandfly Bay pour l’atteindre. Mes jambes s’en souviennent encore !

Toujours beaucoup de vagues et une eau très froide, ce qui me motive pas trop pour aller à l’eau, au contraire d’Alexis.

Petite rencontre avec un lion de mer se dorant la pilule au soleil.

Quoi tu veux ma photo ? 

Oh il y en a un plus réveillé là bas, mais bon on va peut être pas l’approcher de trop près…

 Au bout de la péninsule nichent quelques couples d’Albatros de Sandford qu’on a la chance de voir voler. C’est un des plus grands oiseaux du monde qui passe 80 % de sa vie en haute mer. On retrouve ici l’unique colonie continentale, les 99,75% de la population nichant dans Chatham Islands (à 800 km de là).

Juste pour la comparaison, en haut à droite l’albatros, en bas à gauche une mouette.


 Quelques cormorans.


Voilà nous partons maintenant pour le grand sud et je me prépare psychologiquement à me geler les miches…


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